Réduisez vos impôts en soutenant le cinéma français

Réduisez vos impôts en soutenant le cinéma français

Un dispositif permet de bénéficier d’une réduction d’impôts importante en investissant dans la production cinématographique. La réduction peut alors être de 30%, 36% voire même 48% du montant investi dans des Sofica.

En étant fiscalement domicilié en France et en investissant dans l’une des Sofica – Société de financement du cinéma et de l’audiovisuel – il est possible de réduire le montant de ses impôts de l’ordre de 30% voire 36% du montant investi.

Pour cela, plusieurs conditions doivent cependant être réunies :  la souscription au capital de l’une des Sofica doit être effectuée avant le mois de décembre 2017, et la Sofica doit être agréée par le ministère de l’économie. Il y en a en tout et pour tout exactement onze en cette année 2017.  Il s’agit ensuite simplement de déclarer les montants investis au sein de sa déclaration de revenus, soit la 2042 ou la 2042C.

Jusqu’à 8 640€ de réduction d’impôts

Concrètement, l’opération se réalise en quelques étapes puisqu’il est dans un premier temps nécessaire de se renseigner auprès du Centre national du cinéma (CNC) afin d’obtenir la liste des onze Sofica.  Ensuite, l’investissement peut se faire par le biais des grands établissements bancaires ou via des sites tels que haussmann-patrimoine.fr ou encore best-sofica.com sont des alternatives efficaces.

Suite à quoi, la règle fiscale est avantageuse. En investissant jusqu’à 18 000 euros maximum par foyer fiscal ou 25% du revenu net global, une réduction fiscale de 30% de la somme est la règle. Un pourcentage qui peut s’élever jusqu’a 36% voire même 48% si 10% au moins des investissements sont destinés à la production d’œuvres de fiction, de films d’animation sous forme de séries ou encore de documentaires. Pour un investissement maximal de 18 000€, la réduction d’impôt peut être de 5 400€ ou 6 480€ et jusqu’à 8 640€. Toutefois, l’investissement dans les Sofica doit être obligatoirement maintenu pour une durée de cinq années.

La Rédaction

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